Dissertations sur le menteur du corneille en lien avec le parcours bac comedie et mensonge au bac de francais 2028

Disserter sur Le Menteur de Corneille en lien avec le parcours bac "Mensonge et comédie" au bac 2025

Le 22/08/2024 0

Dans Ressources pédagogiques : examens 2024 et 2025

Comédie et mensonge

 Sujet 1 : 


En quoi la pièce Le Menteur de Corneille peut-elle être considérée comme une allégorie du théâtre? 
 

Depuis les premières représentations théâtrales de l’Antiquité jusqu’aux spectacles modernes, le théâtre a souvent été une réflexion sur lui-même, un espace où la réalité et la fiction se rencontrent et s’entrelacent. À cet égard, Le Menteur de Pierre Corneille, à travers le personnage de Dorante et ses multiples tromperies, se distingue comme une œuvre qui ne se contente pas de représenter le monde mais qui le fait en mettant en scène le propre art de la représentation. En explorant les thèmes du mensonge et de la manipulation, la pièce offre une réflexion sur la nature du théâtre lui-même, en tant que jeu d’apparences et de vérités transformées. Cette réflexion sur le théâtre se manifeste à travers le caractère artificiel du mensonge, la construction de la réalité par le langage, et la manière dont la pièce se présente comme un miroir des dynamiques théâtrales. 


Problématique 


 Dès lors, il est légitime de se demander en quoi le mensonge, tel qu’il est présenté par Corneille, constitue une allégorie du théâtre lui-même, où l’artifice et l’illusion jouent un rôle central.

La pièce peut être considérée comme une allégorie du théâtre à travers plusieurs aspects qui soulignent le caractère artificiel et ludique de la représentation théâtrale. L'œuvre ne se contente pas de raconter une histoire ; elle reflète également la nature même du théâtre en jouant sur les thèmes de l'illusion, de la performance et de la mise en scène.

 

I. Le mensonge comme acte de création théâtrale


Dorante, metteur en scène de sa propre vie :
Dorante se comporte comme un metteur en scène, créant et contrôlant les situations par ses mensonges. Chaque mensonge est soigneusement élaboré pour séduire et tromper, comme lorsqu'il prétend être revenu de Madrid où il a participé à un duel : 
« J’ai tué un homme, madame, mais ce n’était pas ma faute » Acte I, Scène 4.
En inventant des récits et des identités, Dorante construit une réalité parallèle, tout comme un dramaturge crée une pièce de théâtre où les personnages jouent des rôles définis.


Le mensonge, un jeu d’acteur :
Dorante incarne différents rôles au gré de ses mensonges, se transformant en fonction des interlocuteurs qu'il veut séduire ou tromper. Par exemple, face à Clarice, il joue le rôle d'un amant passionné et valeureux : 
« Si je vis, c’est pour vous » Acte II, Scène 4.
Ce changement constant de rôle rappelle le travail de l'acteur sur scène, qui doit endosser différentes personnalités pour convaincre son public. Cet art du mensonge lui vaut les louanges de son valet. Ce n'est plus un défaut condamnable moralement. Le mensonge  en allégorie du théâtre est, pour son valet, à la fin de la pièce un objet d'admiration, Cliton vante la capacité d'invention de son maître :
Cliton - 
« Comme en sa propre fourbe un menteur s’embarrasse ! 
Peu sauraient comme lui s’en tirer avec grâce. »

Eloge encore mis en avant par la réplique finale du valet : 

« Vous autres qui doutiez s’il en pourrait sortir, 
Par un si rare exemple apprenez à mentir. »


La mise en scène des situations :
Les mensonges de Dorante ne se limitent pas à des paroles mais à créer une réalité alternative qui sert ses objectifs. C'est une manipulation du langage pour construire une illusion au coeur de l'acte théâtral ; les incluent également la mise en scène des situations pour rendre ses histoires crédibles. Lorsqu'il fait croire à Cliton qu’il s’est battu la veille avec Alcippe qui l’avait provoqué en duel, et qu’il l’a tué.
Cette capacité à orchestrer les événements souligne la proximité entre le mensonge de Dorante et la création théâtrale, où tout est une question de mise en scène pour produire l’effet désiré.

 

II. Le public comme témoin et complice du mensonge


Le spectateur, un complice involontaire :
Tout comme le public du théâtre accepte de croire à l'illusion créée sur scène, les personnages autour de Dorante se laissent convaincre par ses mensonges, devenant ainsi des spectateurs complices de sa mise en scène :
 « Je vous crois sur parole » (Acte III, Scène 3).
Cette complicité involontaire montre comment le mensonge de Dorante fonctionne comme une représentation théâtrale, où le public suspend volontairement son incrédulité sans exclure les quiproquos comme ressorts théâtraux. Les quiproquos qui jalonnent la pièce sont autant de situations théâtrales par excellence. Ils créent des malentendus et des inversions de rôles qui sont typiques des comédies, et qui rappellent les conventions du théâtre lui-même. Le quiproquo entre Clarice et Lucrèce, par exemple, souligne la manière dont les apparences peuvent être trompeuses et manipulées : « Il me croyait Clarice, mais je suis Lucrèce » (Acte III, Scène 6).


Le théâtre dans le théâtre :
La pièce inclut plusieurs moments où Dorante manipule non seulement les personnages, mais aussi le spectateur, qui en sait plus que les personnages, mais reste dans l'attente du dénouement. Par exemple, quand Dorante confond Clarice avec Lucrèce, le public, conscient de la vérité, observe avec anticipation comment la situation va se résoudre.
Ce procédé rappelle le concept de "théâtre dans le théâtre", où le public est invité à réfléchir sur la nature même de la représentation et du mensonge.


La mise en abyme du mensonge :
À travers les multiples mensonges de Dorante, Corneille propose une mise en abyme du théâtre : le spectateur voit un personnage qui joue un rôle devant d’autres personnages, eux-mêmes ignorant d'être manipulés.
Cette mise en abyme interroge le spectateur sur la frontière entre la réalité et la fiction, un questionnement central dans l'art théâtral.


III. Le dénouement et la remise en question du théâtre-mensonge


La révélation de la vérité :
À la fin de la pièce, les mensonges de Dorante sont démasqués, et la vérité éclate : 
A l'acte III, scène 5, Dorante est dévoilé. 
Dans cette scène de rendez-vous nocturne, Clarice fait venir Dorante sous les fenêtres de Lucrèce pour s'entretenir avec lui sous le nom de cette dernière. Dorante, certain d'avoir reconnu la voix entendue aux Tuileries jure n'aimer que Lucrèce. Mais Clarice, blessée d'avoir appris le mariage de Dorante cherche à confondre le menteur en reproches mais les deux jeunes filles, Lucrèce et Clarice ont accepté le stratagème d'Isabelle, échanger leur identité. Dorante se rend au rendez-vous  mais ignore tout du stratagème mensonger mis en place. 

Cette révélation marque le retour à la réalité, un moment où le rideau tombe et où le public (ainsi que les personnages) doit confronter la vérité.
Le piège se referme contre Dorante et sa réputation de menteur le précède. Les apartés en témoignent, celui de Clarice à Lucrèce interroge "Est-il un plus grand fourbe?", l'hyperbole fait écho aux paroles de Lucrèce qui, à Clarice, confie en négation restrictive, "Il ne sait que mentir". Son ironie grandissante s'accorde avec la violence de son rejet en question rhétorique :
"Et vous pensez encor que je vous croie?" 

Les limites du théâtre-mensonge :
Bien que Le Menteur soit une comédie, il y a une réflexion morale sur le mensonge, qui est intrinsèquement lié à l’art théâtral. Le théâtre est un mensonge convenu, une fiction acceptée par le public. Dorante, en mentant, ne fait que prolonger cette fiction dans la vie réelle. La pièce interroge donc la frontière entre l’artifice théâtral et la réalité
Le dénouement montre que, malgré l'habileté de Dorante, le mensonge ne peut triompher durablement. Ce retour à la vérité souligne les limites du théâtre comme du mensonge : si l’illusion peut captiver, elle ne peut indéfiniment dissimuler la réalité 
Corneille semble ainsi rappeler que le théâtre, tout comme le mensonge, est un artifice qui doit, à un moment donné, céder la place à la vérité.


La morale implicite sur le théâtre et le mensonge :
La pièce invite à une réflexion sur le théâtre lui-même : si le mensonge peut être séduisant et divertissant, il est aussi potentiellement destructeur. Le public est ainsi amené à réfléchir sur le rôle du théâtre, non pas simplement comme un divertissement, mais comme un miroir de la société et de ses illusions.
Le mensonge est blâmé par Cliton 
«J’appelle rêveries 
 Ce qu’en d’autres qu’un maître on nomme menteries ; 
Je parle avec respect.» I, 6.

Les paroles d'Alcippe jugent le menteur de manière sévère du point de vue moral, un homme capable de mensonges n'est pas un homme d'honneur. La parole mensongère est condamnable, assimilée aux "vices" et au manque d'intégrité, elle inspire "la honte". 

Alcippe
"La valeur n’apprend point la fourbe en son école :
Tout homme de courage est homme de parole ;
À des vices si bas il ne peut consentir,
Et fuit plus que la mort la honte de mentir.
Cela n’est point."
Acte III, scène 2

 


 Ainsi, dans Le Menteur, Corneille fait du mensonge une allégorie du théâtre. À travers le personnage de Dorante, le mensonge est présenté comme une création artistique, une mise en scène qui séduit, manipule et divertit. Cependant, la pièce montre aussi les limites de ce théâtre-mensonge, qui finit par se heurter à la réalité. Le Menteur interroge sur la nature du théâtre : une illusion puissante mais temporaire, qui doit, à la fin, révéler la vérité.  Corneille montre comment le théâtre manipule la réalité, comment il joue avec les apparences, et comment, finalement, il révèle des vérités profondes sur la nature humaine. Le mensonge, élément central de la pièce, devient ainsi une métaphore du théâtre lui-même, un artifice qui divertit mais aussi qui enseigne.

Ouverture :
Cette réflexion sur le mensonge et le théâtre dans Le Menteur pourrait être prolongée par une étude de pièces comme Cyrano de Bergerac d'Edmond Rostand, où l'artifice du langage et du masque est également central, mais où l'illusion est utilisée pour des fins différentes, enrichissant ainsi la réflexion sur la puissance et les dangers de l’illusion théâtrale.

 

 

Sujet 2 :

Alphonse Daudet affirme que « Le mensonge est en effet l’élément dramatique par excellence ». Cette citation éclaire t-elle la lecture du Menteur de Corneille?

Alphonse Daudet, en affirmant que « Le mensonge est en effet l’élément dramatique par excellence », met en lumière la capacité du mensonge à créer des situations complexes, à nourrir l’intrigue et à provoquer des retournements de situation, éléments essentiels au drame. Cette réflexion s’applique-t-elle à Le Menteur de Corneille, une comédie où le protagoniste, Dorante, use et abuse du mensonge pour manipuler son entourage et tenter d’échapper à un mariage arrangé ?

Il convient d’examiner comment le mensonge structure l’intrigue, engendre des conflits et, finalement, conduit au dénouement de la pièce.

 

I. Le mensonge, moteur de l'intrigue dramatique

 

Le mensonge comme déclencheur de l'action :

Dès le début de la pièce, Dorante utilise le mensonge pour se construire une identité glorieuse et séduisante. Son premier grand mensonge concerne son prétendu duel à Madrid : « J’ai tué un homme, madame, mais ce n’était pas ma faute » (Acte I, Scène 4). Ce mensonge déclenche l’intérêt de Clarice et pose les bases de l’intrigue.

Le mensonge de Dorante agit comme un catalyseur, accélérant les événements et créant des situations qui n'auraient pas existé autrement. Cela montre bien que le mensonge, en modifiant la réalité, est au cœur de l’action dramatique.

Le mensonge et les quiproquos :

Les mensonges de Dorante engendrent une série de quiproquos qui enrichissent l'intrigue. Par exemple, lorsqu’il confond Clarice et Lucrèce, les deux jeunes femmes se méprennent sur ses intentions, ce qui crée des malentendus et des tensions croissantes.

Ces quiproquos, fruits du mensonge, ajoutent de la complexité à l'intrigue, multipliant les rebondissements et tenant le public en haleine.

Le mensonge, générateur de suspense :

Les mensonges de Dorante maintiennent un suspense constant, car le public se demande constamment si et quand la vérité sera révélée. L’attente de la révélation crée une tension dramatique qui soutient l’intérêt tout au long de la pièce.

Cette tension est essentielle dans une pièce dramatique, et elle est ici entièrement due à l’usage du mensonge comme moteur de l’intrigue.

 

II. Le mensonge comme source de conflits dramatiques

 

Le mensonge et les conflits amoureux :

Le mensonge de Dorante engendre des conflits entre les personnages, notamment entre Clarice et Lucrèce, qui se croient toutes deux courtisées par le même homme. Ce triangle amoureux, fondé sur un malentendu, devient le centre du conflit dramatique : « Serais-je trompée ? » (Acte IV, Scène 1).

Les tensions amoureuses, exacerbées par le mensonge, donnent lieu à des scènes dramatiques où les personnages expriment leurs doutes, leur jalousie, et leurs espoirs déçus.

Le mensonge face à la vérité :

Dorante, en mentant, se met en opposition avec la vérité, ce qui crée un conflit interne chez lui et un conflit externe avec les autres personnages. À mesure que ses mensonges s'accumulent, il devient de plus en plus difficile pour lui de maintenir sa version des faits.

Ce conflit entre mensonge et vérité est un ressort dramatique puissant, car il met en jeu la crédibilité et l'honneur de Dorante, ainsi que la confiance des autres personnages.

Dorante mérite d'être démasqué, de ressentir la honte et la vérité révélée à tous les personnages de la pièce. 
"Qui se dit gentilhomme et ment comme tu le fais, 
Il ment quand il le dit, et ne le fut jamais". V, 3 
 

Le dénouement dramatique du mensonge :

Finalement, le mensonge de Dorante conduit à un dénouement où la vérité éclate. La révélation des mensonges engendre une résolution dramatique où les conflits sont apaisés, mais où Dorante doit reconnaître ses torts. À la fin de la pièce, les mensonges de Dorante sont démasqués, et la vérité éclate : 
A l'acte III, scène 5, Dorante est dévoilé. 

Ce dénouement montre que, même dans une comédie, le mensonge peut avoir des conséquences sérieuses, soulignant ainsi son rôle crucial dans la dynamique dramatique de la pièce.

 

III. Le mensonge et la morale du théâtre

 

Le mensonge comme reflet de la société :

Le Menteur utilise le mensonge pour critiquer la société et ses valeurs. Dorante, en mentant, révèle les attentes sociales autour de l’honneur, du mariage, et de la réputation. Son mensonge est à la fois une critique et une satire de ces valeurs.

Le mensonge devient ainsi un moyen pour Corneille de questionner la réalité sociale, en montrant comment les apparences et les faux-semblants dominent les relations humaines.

Le mensonge et la mise en abyme du théâtre :

Le mensonge, dans Le Menteur, peut être vu comme une métaphore du théâtre lui-même, où tout est illusion et où les acteurs mentent pour divertir et faire réfléchir le public. Dorante, en inventant des histoires, devient une sorte de dramaturge à l'intérieur de la pièce, créant sa propre fiction : « Je crée un monde, et je le vis » (Acte IV, Scène 4).

Cette mise en abyme du théâtre à travers le mensonge souligne l’artificialité du drame et invite le spectateur à réfléchir sur le rôle du théâtre comme miroir de la vie.

La moralité du mensonge :

Si le mensonge est au cœur du drame dans Le Menteur, il n'est cependant pas glorifié. La pièce montre que, bien que le mensonge puisse être utile pour manipuler les autres, il finit par se retourner contre celui qui le pratique. Dorante est finalement confronté à la vérité et doit en assumer les conséquences.

Le dénouement de la pièce rappelle que, même dans le cadre d'une comédie, le mensonge comporte une leçon morale : il est éphémère et fragile, et la vérité finit toujours par triompher.

 

La citation d'Alphonse Daudet, affirmant que « Le mensonge est en effet l’élément dramatique par excellence », trouve une résonance profonde dans Le Menteur de Corneille. Le mensonge y est non seulement le moteur de l'intrigue, mais aussi la source de conflits et de tensions dramatiques qui animent la pièce. Il joue un rôle central dans la création d'une dynamique théâtrale riche et complexe, tout en soulevant des questions morales sur la nature de la vérité et de l'illusion. Ainsi, à travers le personnage de Dorante, Corneille montre que si le mensonge peut susciter le drame, il ne peut jamais vraiment le résoudre sans laisser des traces.

Ouverture :

Cette réflexion sur le mensonge pourrait être prolongée en analysant d'autres œuvres de Corneille, comme L'Illusion comique, où le thème du mensonge et de l'illusion est également central, mais dans un registre où le théâtre et la réalité se mêlent de manière encore plus complexe, illustrant le pouvoir de l'artifice sur la vie humaine.

Sujet 3

La pièce Le Menteur de Corneille vous semble-t-elle être une réflexion sur l'hypocrisie sociale? 

Problématique :

En quoi Le Menteur de Corneille critique-t-il les conventions sociales et les comportements hypocrites de son époque à travers le personnage de Dorante et ses tromperies ?

Axes de réflexion :

L'hypocrisie comme moteur de l'intrigue : Analyse des mensonges de Dorante et leur impact sur les autres personnages.

Critique des normes sociales : Comment les tromperies de Dorante révèlent-elles les attentes et les hypocrisies sociales ?

Révélation de la vérité : Le dénouement de la pièce et la manière dont il expose les vérités cachées sous les apparences.

Sujet 4 :

La pièce est elle une comédie des apparences? 

Problématique :

En quoi Le Menteur met-il en scène le jeu des apparences et des illusions, et comment ces éléments contribuent-ils à la dimension comique de la pièce ?

Axes de réflexion :

Le mensonge comme jeu théâtral : Comment Dorante manipule-t-il les apparences et les perceptions des autres ?

Les quiproquos et les malentendus : Analyse des situations comiques créées par les mensonges et les quiproquos.

L'illusion théâtrale : La pièce comme reflet de la nature artificielle du théâtre et du jeu des apparences.

Sujet 5 :

La pièce de Corneille, Le Menteur explore-t-elle le thème de l'identité entre vérité et fiction? 

Problématique :

Comment Le Menteur explore-t-il la question de l’identité à travers les mensonges et les déguisements de Dorante ?

Axes de réflexion :

Les multiples identités de Dorante : Analyse des différents rôles et identités que Dorante endosse.

Les conséquences des mensonges sur l’identité : Comment les tromperies de Dorante affectent-elles sa propre identité et celle des autres personnages ?

La quête de soi à travers la fiction : Comment la pièce questionne-t-elle la relation entre la vérité personnelle et la fiction ?

Sujet 6 :

Est-ce une comédie des caractères et une satire sociale? 

Problématique :

En quoi Le Menteur utilise-t-il la comédie des caractères pour offrir une satire sociale de son époque ?

Axes de réflexion :

Les caractères comiques : Analyse des différents personnages et de la manière dont leurs traits comiques servent la satire sociale.

La satire des classes sociales : Comment la pièce critique-t-elle les différentes classes sociales et leurs comportements ?

Les conventions sociales comme cible : Comment la pièce utilise-t-elle l’humour pour critiquer les normes sociales de son temps ?

Sujet 7 : 

Le Menteur explore-t-il la quête du bonheur à travers les mensonges et les désillusions de Dorante ?

Problématique :

Comment Le Menteur explore-t-il la quête du bonheur à travers les mensonges et les désillusions de Dorante ?

Axes de réflexion :

Le bonheur illusoire : Analyse des attentes de Dorante concernant le bonheur et comment ses mensonges influencent ses désirs.

Les désillusions : Comment les mensonges de Dorante mènent-ils à des désillusions et des confrontations avec la réalité ?

Le chemin vers la vérité : La résolution de la pièce et ce qu’elle révèle sur la quête du bonheur et la recherche de la vérité.

Le théâtre Disserter sur une pièce de théâtre bac 2025

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